Biographie Les exécutions fascinantes de Teresa Walters dans les salles de concert internationals inspirent l’éloge unanime. Sa biographie pourrait s’écrire à partir des seuls titres des journaux: “Teresa Walters Joue du Piano à Grande Echelle” (Le Cincinnati Enquirer); “Ses Mains Créent des Cascades Lumineuses” (Le Washington Post); “Pianiste Scintille avec Symphonie” (Green Bay Gazette); “Teresa Walters Garde les Clés des Cœurs de l”Audience” (The Record). Ces dernières années, elle a joué comme soliste de recitals et d’orchestres dans tous les continents et dans presque tous les Etats Unis, e compris: Carnegie Hall à New York, Wigmore Hall à Londres, La Salle Cortot à Paris, la Grande Salle à Moscou, Le Conservatoire Internationale Australien et La Salle de Concert de Jérusalem. Avec son vaste repertoire, elle a aussi joué dans le festival de Beethoven à Vienna et dans les Festivals de Musique Espagnole à Madrid et à Barcelone. Son recital pour le Centenaire de Liszt au Lincoln Center à New York a gagné les applaudissments de la foule. C’est la première pianiste Americaine à être invitée par le gouvernement hongrois pour presenter le Concert Anniversaire en honneur de Liszt. Les prestigieuses invitations pour jouer à l’Académie de Musique de Liszt à Budapest aussi bien qu’à Raiding: le lieu de naissance de Liszt, et au Palais d’Esterhazy, sous le patronage du Prince Anton Esterhazy, témoignent sa renommée croissante comme une des meilleures interprètes de Liszt de nos jours. En fait, le American Record Guide a annoncè que “sa concurrence est du néant”. Teresa Walters est connue par son engagement à la musique qu’elle considère comme le langage universel ultime. Elle se sent à l’aise aussi bien dans les grandes salles de concert, que sur un campus ou dans une toute petite communauté, où elle se fait aimer de son audience par ses commentaries. Elle a gagné une bourse d’études pour Paris; le sujet de thèse était un entretien à Nadia Boulanger. Mlle. Boulanger a décrit Teresa Walters comme “ayant reçu une abondance de dons rare de toute sort”. En plus d’un programme surcharge de tournées, elle enregistre une série de disques dans les studios Archangelus Records, ayant au programme les pieces sacrées de piano de Liszt. Les deux premiers albums de la série ont été nommés pour le Grand Prix du Disque. CRITIQUE: “Les doigts de Teresa Walters étincelles
et elle porte le clavier en orbite”. |